Dépêche AFP
- François Sauvadet, député, porte-parole de l'UDF: "On vient d'assister à une scène complètement surréaliste: un président qui annonce la promulgation d'une loi en demandant de ne pas l'appliquer et au gouvernement de la modifier. C'est tout à fait inédit (...) C'est beaucoup de temps perdu et d'énergie gâchée pour en arriver là".
- Henri de Raincourt, vice-président du groupe UMP au Sénat: "par un propos juste et équilibré, le président de
- Roger-Gérard Schwarzenberg (PRG): "Le Parlement n'est pas le guignol de
- Christophe Cambadélis (PS): "Jacques Chirac a, une fois de plus, pris position pour convenances personnelles. Il a choisi son Premier ministre plutôt que le peuple, il récoltera l'amertume sociale et la rancune politique pour son camp".
- Jean Léonetti, premier vice-Président du groupe UMP de l'Assemblée Nationale: "face à la situation de blocage que connaît notre pays, le chef de l'État a choisi le ton de la fermeté et de la sagesse (...) il a compris combien l'angoisse de la jeunesse vis à vis de l'emploi et plus généralement de son avenir s'était révélée à l'occasion de cette disposition législative".
- André Rossinot, coprésident du Parti radical: "le chef de l'Etat a répondu aux attentes des jeunes (...) Néanmoins, une deuxième lecture au Parlement aurait été plus rapide, plus simple, plus claire et plus apaisante. C'est au plus vite que ce nouveau texte doit être voté. C'est la condition pour ramener le calme dans le pays qui en a bien besoin".